Costumes nationaux
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FR
Costumes nationaux
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FR
Daniel Canty
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Stéphane Poirier (illustration)
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Feed (conception graphique)
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FR
2015
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FR
Français
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Daniel Canty
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FR
« Au début de cette histoire, comme au début de toutes les histoires, il y a un garçon et une fille. Ou plutôt un homme et une femme. C’est du pareil au même, à quelques détails près.
Anatole est correspondant en beauté. Il aime Pimprenelle. Puisqu’elle est ailleurs, il part y voir.
Il fait financer sa vocation. Il prend des trains, des ballons, des voitures et des fusées. Il traverse des forêts et des fleuves, la montagne, la plaine et le temps. Il visite des nations étrangères, des villes merveilleuses, des contrées reculées.
Dans cette histoire, il y aussi de nombreux étrangers. Des gens comme vous et moi, mais non.
Où qu’il passe, Anatole considère la parade chatoyante de l’humanité dans ses habits de tous les jours, ses costumes du dimanche, et ses contradictions les plus riches.
Surtout, il se demande qui ils sont, et qui il deviendra au bout de son voyage, en se répétant que l’habit ne fait pas l’homme.
Du printemps à l’été 2015, Daniel Canty, Stéphane Poirier et Feed vous offrent une promenade en images et en mots à travers les usages vestimentaires les plus colorés du monde. »
Mention de genre autodéclarée : « Roman-feuilleton » et « feuilleton web »
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Impression des trois premiers chapitres en 2017
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Le lectorat peut cliquer à côté de la bande de texte pour la faire disparaître.
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Voyage
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Esthétique des vêtements
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Esthétique des immeubles
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Signification des vêtements
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Retrouvailles familiales
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Univers parallèle
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« Une partie du problème vient sans doute du fait que ces hommes ne sont pas insensibles aux charmes des dames de la grande ville, qu’ils dévorent du regard, se retournant pour humer à pleins poumons leur parfum floral. Il faut les en excuser : ils reconnaissent, dans les détails, les tremblements subtils des robes étagées, les bouquets ouvragés des chevelures, l’écho lancinant de ces coutures, et ces plis du relief qu’ils connaissent par cœur, la dentelle vacillante du feuillage… Ils se souviennent de la surprise gantée des racines alors qu’elles relâchent leur poigne en émergeant de terre… Ils voudraient arriver aux soirées dans un costume de mousse, ramener ces dames à leur couche de terre, à une vie réglée sur l’appel du soleil… Mais on ne les invite pas. »
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