La peau du calme
Contenu
- Titre
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- Résumé
- URL de l'œuvre
- Description
- Thèmes
- Support
- Relation
- Extraits de l'œuvre
- Identifiant Wikidata
- Personne ayant créé la fiche
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La peau du calme
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Maude Veilleux
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Carol-Ann Belzil-Normand
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2024-03-08 (parution dans la revue Moebius)
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Français
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Anglais
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Moebius
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Moebius
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« La peau du calme » est une œuvre poétique bipartite créée par Maude Veilleux et Carol-Ann Belzil-Normand pour la revue Moebius.
Maude Veilleux propose une modélisation 3D de son appartement, dans laquelle il est possible d’interagir avec des objets, pour voir des images, lire des textes et entendre des poèmes.
Juste à la droite de cette œuvre, sur la même page web, se trouve un poème textuel de Carol-Ann Belzil-Normand, qui se modifie légèrement au moment de la lecture.
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« Pour Moebius, Maude Veilleux propose une œuvre interactive en image de synthèse qui a été mise en relation avec la poésie graphique de Carol-Ann Belzil-Normand.
Plus précisément, Maude Veilleux a recréé son appartement où chaque pièce devient un environnement immersif à explorer. L’espace numérique devient un lieu intime où on peut se promener, interagir avec des objets et découvrir les fragments d’un roman en cours de création. Les objets ainsi que l’espace de l’appartement offrent une expérience à la fois sensorielle et immersive.
D’autre part, Carol-Ann Belzil-Normand propose un poème qui incite à la réflexion sur le refus des solitudes à se conformer aux normes. Les solitudes, évoquées dans le texte, se manifestent dans les espaces vides de l'appartement, mais aussi par l’espace du texte qui s’incarne sous la forme d’une absence. Une interconnexion conceptuelle se crée entre l’espace interactif de Veilleux et le texte de Belzil-Normand où s’entremêle la résistance et la solitude. »
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Solitude
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Résistance
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Identité
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Regard des autres
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Corps
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Arts
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« Un regard surplombant la fenêtre mon salon pour comprendre mieux que moi les interstices de ma personne. Malheureusement, il n’y a pas de mystères ici, pas d’énigmes à résoudre, aucun Sherlock à convoquer. Just the same old story. »
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Benjamin Arteau-Leclerc