La chemise de Frank O’Hara
Contenu
- Titre
- Créateur
- Date de création
- Langue
- Editeur
- Distributeur
- Résumé
- URL de l'œuvre
- Description
- Modalité procédurale
- Nature
- Genre
- Thèmes
- Format
- Principe d'organisation
- Technique
- Licence
- Extraits de l'œuvre
- Réception et sources
-
La chemise de Frank O’Hara
-
Bertrand Laverdure (idée originale, conception sonore et poème)
-
Hugo Arcier (directeur créatif)
-
Robin Maulet (artiste 3D)
-
2015
-
Français
-
N°130 Creative Studio
-
Vimeo
-
Recto Verso - Mois Multi
-
La chemise de Frank O’Hara est une création littéraire en réalité virtuelle de Bertrand Laverdure et coproduite par N°130 Creative Studio. Le projet a été présenté en primeur à l’Agence TOPO en 2019 et à la Maison de la littérature en 2020 dans le cadre du Mois Multi. L’œuvre s’inscrit dans une perspective expérimentale, où l’exploration des arts numériques littéraires est au cœur de la démarche du poète et romancier québécois — qui, d’ailleurs, n’en est pas à sa première expérience littéraire hors du livre.
-
https://vimeo.com/298006998
-
« La chemise de Frank O’Hara est un projet de réalité virtuelle présentant quatre calligrammes 3D manipulables par les visiteurs et conçus à partir de quatre textes de la suite La chemise de Frank O’Hara écrite par le poète de Québec Bertrand Laverdure. Ces quatre poèmes transformés en calligrammes 3D, sont intégrés dans l’habitacle d’une copie de la voiture en vedette dans le film The Last Clean Shirtd’Albert Leslie, traitent de la vie du poète Frank O’Hara (sous-titreur de ce film) ainsi que de celle du concepteur de l’œuvre.
Chacun de ces objets/calligrammes 3D peut être saisi par le visionneur ou la visionneuse lorsqu’il ou elle s’installe dans l’habitacle de la voiture virtuelle. Dès que celui-ci ou celle-ci attrape, à l’aide de ses manettes de réalité virtuelle, l’un ou l’autre de ces objets-calligrammes 3D, une trame sonore s’enclenche, liée à l’objet. »
-
Ville
-
Frank O'Hara
-
Art contemporain
-
Technologie
-
© Bertrand Laverdure 2015
-
« Frank tient la souris, s’informe des visages Matisse, participe à un éclair sans nom dans une ville de grande classe. »